Et bien si le cachet en question faisait que les attributs de ma liberté tombaient tous seuls par terre (d'un point de vue cognitif hein !) je préfèrerait rester avec mon mal de crâne. Le problème est qu'on n'est pas assez informé des effets secondaires du cachet, alors on n'a plus mal à la tête, on est content, mais on s'est pas rendu compte que notre liberté s'était faite castrer.
Concernant l'histoire des moutons et du progrès, j'aurais tendance à croire que toute avancée technologique qui ne favorise pas le développement harmonieux de l'individu ne peut pas être qualifiée de progrès.