Stylobil

Double post, désolé

Sois plus précis dans ce que tu avances à propose de numéro de série sous forme de donnée ? Sur PC on trouve 2 procédés d'identification lors de l'installation d'un prog/jeu.Il y a le principe des numéros de série de type "offline" qui ne nécessitent pas d'accés internet et ceux de type "online" qui eux nécéssitent un accés internet pour identification du produit et attribution d'un numéro de série par serveur( Win XP/Vista, Symantec et bien d'autres). Pour ce qui est de la 360 il y a le secteur codé incopiable parce qu'il est préssé d'usine et pas lié au reste des données, donc inaccessible. C'est grace à lui que la console autorise le lancement du jeu original. Le Flash du lecteur DVD360 permet, entre autre, de faire croire à la console qu'un backup est bel et bien un original afin de le lancer. C'est de l'utopie de croire que chaque jeu serai pressé d'usine avec pour chacun un numéro de série unique. Pour presser des CD/CD/BD/HD-DVD, en usine, il faut d'abord graver un "Master négatif" à l'aide d'un puissant laser. Pour faire court sur ta téhorie, il faudrait créer autant de "Master négatif" que de jeu à vendre ?! Pas réaliste Comment? C'est simple, il suffit de voir que depuis Windows98, chaque Cd de Windows a son propre No de série... et que c'est un No Unique par CD qui ne change jamais même en utilisant des licence Key differentes et qu'il est visible en faisant clic droit sur le poste de travail => propriété ... Il est également visible dans la base de registre windows également dans plusieurs clé... Donc presser un CD ou un DVD en modifiant quelques octets pour modifier un No de série ne doit vraiment pas être difficile. Pour Microsoft, ça doit être du gateau à mettre en place ce genre de chose sur 360 , tout le monde sais que sous windows le piratage les arrangent bien, ils prèferent voir leurs produits piratés plutot que de voir les gens se tourner vers la concurrence, y'a qu'à voir IE7 qui ne necessite plus une copie originale, et Wga qui ne bloquera plus Vista avec le nouveau service pack, s'il s'agit d'une version pirate. Que devrais je dire des anciennes Consoles, comme la Playstation 1 (anciennement PSX puis Psone) qui se sont vues monstrueusement pirater en masse (les gens qui n'avaient pas la puce se faisaient rares dans mon entourage, et ailleurs également) ce piratage qui a contribué au Monopole, comme pour beaucoups... Des exemples, y'en a beaucoups, c'est bien connu qu'une console piratable attire plus de monde qu'une console sur laquelle on ne peut pas copier les jeux. Evidemment, Officiellement Microsoft à tout à y perdre... (benef jeux) ou tout à y gagner (monopole)... Faux, faux et archi-faux. Les CD de Windows ou de tout autres produits MS n'ont pas de numéro de série. Il n'y a rien, sur la surface de données d'un disque WinXP (par exemple), qui puisse le différencier d'un autre disque WinXP. Ces disques sont vendus avec un numéro de license, qui est unique, et qui est ce dont tu parles. C'est ce numéro de license qui est vérifié, à l'installation de ton logiciel notamment, pour voir s'il respecte un certain format (défini par une clé de cryptage). C'est pour ça que tu ne peux pas écrire n'importe quoi quand il te demande de saisir ton num de license. Ceci-dit, tu peux bien utiliser le num de série d'un pote avec n'importe quel CD, tant que le num de série est valide (et que la version du logiciel est la même), ça fonctionnera. De plus, je crois qu'il est vraiment simpliste et réducteur de dire qu'il est profitable de vendre un produit piratable. Puisque tu aimes à fonder ton raisonnement sur des exemples, prends donc celui de la dreamcast et vois si elle a eu du succès (commercialement j'entends) alors qu'elle était piratable bien plus facilement que n'importe quelle console à l'époque (et même aujourd'hui). Le piratage sur console est officiellement et officieusement un problème pour l'industrie du jeu vidéo, comme le piratage d'albums est officiellement et officieusement un problème pour l'industrie du disque, et je vois mal quels arguments tu pourras trouver pour contredire ça.